ien n'est beau comme cet instant solennel des cérémonies catholiques,
alors que les prêtres, vêtus de leurs blancs surplis ou de chapes
étincelantes, marchent lentement, précédant le dais et suivant la croix
d'argent qu'éclairent les cierges par-dessous, et qui coupe de son éclat
l'ombre des voûtes dans laquelle elle semble nager, comme la croix, il y
a dix-huit siècles, sillonna les ténèbres qui couvraient le monde. »
Jules Barbey d'Aurevilly
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